Mangeur.de.reves

~L'heure de la digestion~

Mercredi 1er décembre 2010 à 19:06

Et voici maintenant attention... Un travail magnifiiiique !! L'objectif était de réaliser un montage dans le même esprit que le peintre italien Giuseppe Arcimboldo avec le thème de la musique. Voici donc un portrait bionique de la mort qui tue... (Haaaaa mes yeuuuuux !! Qu'est ce qu'ils nous font pas faire à cet IUT... !)

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Un des tableaux de Giuseppe Arcimboldo :
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Et voici mon chef d'œuvre (Huhu...) : 
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C'est d'une horreur... Alalala !
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Mardi 30 novembre 2010 à 22:38

Encore un travail à faire sur le cinéma, cette fois, il fallait inventer le synopsis d'un film, créer l'affiche et rédiger une critique comme si nous étions des critiques professionnels. (Elle en jette mon affiche ! Haha !...!)
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Synopsis :
L'Arme Psycho(il)logique.

    Des scientifiques travaillant pour des militaires, créent des armes chimiques qui pourraient rendre désert la planète en trois jours. Ils se posent des question comme la nécessité à la fabrication de ces armes, pesant le pour et le contre de leur avancée dans ce domaine.
    Cela peut aider d'autres domaines comme la médecine, mais est-ce un besoin pour l'humanité ou pour pousser les avancées scientifiques. S'ils ne les créent pas eux-mêmes, d'autres le feraient-ils à leur place ? Des questions qu'ils se posent tout les jours en travaillant, approchant peu à peu du but de leur recherche. Les scientifiques ont le poids de cette création qui se concrétise de jour en jour sur leur conscience.
    Les proches sont présents autour d'eux, les faisant momentanément oublier ces doutes. Cependant plus leurs expériences évoluent, donnant des résultats satisfaisant, plus ils culpabilisent, se sentant rongés par les remords. Ils n'ont plus le courage de faire face à leur famille et leurs amis, ils se renferment de plus en plus sur eux, coupant tout liens.
    C'est ainsi que commence une longue dégénérescence de leur esprit, rêvant éveillés, cauchemardant la nuit. Leur état mental se dégrade de plus en plus laissant dans l'incompréhension les proches qui ne comprennent pas d'où et le pourquoi de ces changements de comportements.
    Ils essayent de trouver une issu, se serrant les coudes entre eux, lié par les secrets de ce projet. C'est alors qu'ils se plongent dans un monde de drogues, fabriquant eux même leurs doses, n'arrangeant en rien leur état. Ils se détachent alors de ce qui les entoure passant de la colère, la tristesse de se sentir seul, à enfin de l'indifférence de tout ce qui pourrait arriver.
    Isolés avec leurs doutes qui ne les quittent pas, laissant la névrose augmenter au fil du temps dans leur esprit, ils craquent...
 

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Critique :

A nous tenir en haleine.
Cine life n°42 | 25 novembre 2010.

    L'histoire de L'Arme Psycho(il)logique se déroule autour de deux scientifiques travaillant sur un projet d'arme massive chimique.
    Le film traite des sentiments et des états d'âme de ces personnes qui sont dans le secret de leur recherche et doutant de la nécessité de ce projet. Un film qui nous fait bien ressentir les émotions des personnages qui sont au centre de l'intrigue, nous tenant en haleine jusqu'à la fin.
    Du début à la fin, ils resteront des scientifiques sans noms mais qui porteront beaucoup d'émotions, beaucoup de culpabilité, sur leurs épaules.
    C'est donc un thriller psychologique qui s'offre à nous. Les personnages sont montrés sous toutes les coutures, leurs pensées dévoilées et se posant des questions éthiques remettant en question leurs fondements qu'ils avaient acquis au fil des années. Ce qu'a très bien à interpréter les acteur, collant parfaitement à l'intrigue du film.
    Malgré le peu d'action et un rythme pesant, l'histoire évoluant lentement, l'attachement que l'on éprouve pour ces personnes nous captive.
    Ce qui accentue d'autant plus notre fascination pour ce récit, sont ces plans magnifiques, avec une palette de couleurs maigres (une dominance de bleus surtout), nous gardant dans l'ambiance du film. Accompagné également d'une superbe bande son composé par Nathaniel Méchaly.
    C'est donc pour deux heures et dix minutes que vous entrez dans la salle de cinéma dans le but de voir ce film qui nous fascine du début à la fin, nous laissant sans voix à sa sortie. Si vous aimez le genre, à ne pas rater !
Léo Glenn.

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Jeudi 18 novembre 2010 à 22:18

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Voici une nouvelle qui devait porter sur le thème du cinéma, à rendre comme devoir et à envoyer à un concours.
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La chaine de hasard.


« Nous avons pu donc constater qu’en groupe, l’Homme se développe plus rapidement qu’isolé. C’est avec un travail de communications entre tout Homme que les avancés technologiques ont pu voir le jour, où tout commença avec le feu. Les chercheurs se concertent pour permettre d’évaluer le travail de chacun et d’y travailler en suite dessus. C’est comme cela que nous avons pu mettre au point des inventions, telle que l’appareil photographique, le cinéma, les ordinateurs et bien d’autres. »

    Le mot « FIN » apparu sur l’écran, suivi générique. Le noir envahit la salle, puis quelqu’un prononça : « Allez, change de bobine ! ». Un autre film documentaire sur les Hommes se déroula dans la machine. Les hommes qui normalement étaient des projectionnistes étaient ici, remplacés par des scientifiques en blouses blanches. Et de même, les trois spectateurs qui se trouvaient dans la salle ce jour là, étaient… des extraterrestres, apparus il y a peu sur cette planète par erreur.

    Ces extraterrestres avaient une corpulence légèrement plus grande et épaisse que celle des êtres humains, et possédaient de petites antennes tombantes devant la tête. C’est à partir de ces antennes qu’ils bougeaient que ces êtres pouvaient communiquer entre eux. Ils étaient très silencieux et passifs face au film que les scientifiques présentaient les uns après les autres devant eux, même si les hommes avaient des doutes sur la façon qu’ils percevaient ces images à l’écran. Cela faisait quelques jours que les hommes avaient lancé l’idée de projeter des films pour ces invités de marques tout en observant leur comportement et leur réaction face à une planète et un mode de vie inconnu, mais ils ne voyaient pas de réels changements.
De leur côté les extraterrestres se laissaient faire gaiement, bien conscient et amusés d’être des sujets d’expériences étudiés minutieusement par ces hommes blancs. Tout en regardant les  projections, ils discutaient des manières primitives des résidents de cette planète et de leurs pauvres connaissances. Ils étaient tout de même intéressés par ce concept de vidéo sur toile blanche pour narrer et partager leurs connaissances avec eux. Attentifs à ces films, ils intégrèrent assez rapidement les concepts de la méthode de communication de l’Homme, leur culture actuelle, ainsi que leurs besoins quotidiens. Les données de cette planète étaient envoyées dans leur vaisseau par une petite boite qu’ils transportaient sur eux, pour en suite les transmettre à leurs confrères. Ils étaient heureux d’avoir déniché par hasard cette planète dotée de ressources et d’êtres réellement intéressants. Cependant, ce qui dérangea les extraterrestres dans ces films, étaient les notions d’argent et de possession d’un ridicule morceau de terrain. Evidemment, ils se querellaient beaucoup entre eux et les autres espèces parcourant l’univers, pour des questions de vaisseaux allants trop près les uns des autres allants jusqu'à se percuter et endommager les réserves, et les questions les plus minutieuses étant bien sûr… de savoir sur quelle planète aura lieu le prochain show des « Mamiz en folie » !

Au moment de changer la bobine, l’un des extraterrestres se redressa et s’approcha du projecteur qui se trouvait dans la salle de cinéma. Le scientifique qui tenait dans les mains la bobine, eut un sursaut à la vue de la grande forme s’approcher de lui, alors qu’habituellement les extraterrestres étaient restés sans bouger de leur siège. Il fit tomber la bobine au sol de stupeur et les autres scientifiques se questionnèrent sur la raison du mouvement de l’extraterrestre après 20h d’immobilité. L’extraterrestre fit allonger sont bras jusqu’au sol pour ramasser la bobine, il l’examina un moment puis la plaça dans le projecteur. Il réussit à faire fonctionner la machine, et l’arrêta en de suite, il approcha sa tête pour examiner plus en détails l’appareil, et remis à nouveau la machine en route. Le scientifique qui n’avait pas bougé, s’éloigna et alla se joindre aux autres scientifiques sur le côté de la salle. Ils concertaient toujours sur le comportement étrange de l’extraterrestre tout en remarquant que les deux autres ne bougeaient pas plus que d’habitude. Ils le laissèrent faire et apportèrent d’autres bobines de films en les posant sur une table à côté du projecteur.

Les films continuaient à tourner. Les êtres humains présent dans la salle étaient de plus en plus fatigués, somnolents, et surveillaient d’un œil négligeant les extraterrestres. Après quelques heures passées, tous les scientifiques dormaient à point fermé, bercés par les sons des films projetés. Le projectionniste était maintenant l’extraterrestre, ne plaçant pas toujours les bobines dans le bon ordre, mais les changeant dès que l’une se terminait. Beaucoup de films documentaires avaient été projetés et la pile de bobines diminuait à vue d'oeil. L'extraterrestre sorti de la salle de cinéma pour aller se procurer de nouveaux films. Il entra dans une salle adjacente, et y trouva des bobines entreposées. Il en prit quelques au hasard, puis les ramena dans la salle où ses deux semblables l'y attendaient. Il lança le film, et les extraterrestres furent impressionnés par ce film. Ce n'était plus des films documentaires qui défilaient devant leurs yeux mais des films d'actions, de science fiction, d'aventure, des drames, des comiques...
Quelques heures plus tard les scientifiques se réveillèrent désorientés, ils regardèrent autour d'eux. Ils se trouvaient dans la salle de projection, vide. Reprenant  totalement leur esprit, ils réalisaient avec stupeur que les extraterrestres étaient partis, et de plus, ils avaient également emporté le projecteur et plusieurs films... Les scientifiques cherchèrent dans tout le bâtiment, ils retournèrent là où ils les avaient rencontré pour la première fois, mais ils restèrent introuvable. Les heures, les jours et les années passèrent, sans plus aucune nouvelle de ces êtres venus de l'univers.
FIN.
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Jeudi 18 novembre 2010 à 22:01

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En première année d'IUT, je passe le temps en écrivant et rêvassant.
Je regroupe mes idées, mes textes ou encore mes travaux, me servant de ce blog comme d'un compte rendu de mes rêves.

"Le rêve est la preuve qu'imaginer, rêver ce qui n'a pas été, est l'un des plus profonds besoins de l'homme."
L'insoutenable légèreté de l'être. Milan Kundera

Je jongle entre la lecture en tout genre, le piano, les vidéos, mes heures de sommeil, gérer mes cours et les projets, sans oublier de penser à ce que je pourrais bien manger le soir (très important ça, c'est devenu une de mes priorités dans ma vie !).

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